Comment maintenir un régime pauvre en protéines pendant les études ?

Réflexions d’un étudiant en deuxième année qui gère la PCU et un emploi du temps chargé

Alors que James Fryer entamait sa première année d’études à l’université de Willamette, dans l’Oregon (États-Unis), il savait qu’il s’apprêtait à vivre une grande transition dans sa vie. Certains ajustements se sont révélés plus stressants qu’il ne l’avait prévu.

 

« Ma plus grande difficulté a été de toujours avoir, sans que ma famille ne me le rappelle, une quantité suffisante de substituts protéiques », explique James à propos de sa gestion de la phénylcétonurie (PCU). Son université est située dans une ville différente de sa ville natale, la préparation est donc très importante.

 

Heureusement que James est organisé ! Il gère minutieusement son planning, qu’il s’agisse de gérer sa prise de substituts protéiques, son régime hypo-protidique ou son bien-être. Il est devenu le maître des listes et de la planification. « Je regarde mon emploi du temps pour voir si j’ai le temps de cuisiner ou d’aller courir », explique James. Il s’agit là d’un excellent exemple de la discipline de James, qui, selon lui, l’a amené à réussir non seulement en classe, mais aussi sur le terrain de football, puisqu’il fait partie de l’équipe de football du club de Willamette.

 

Les chefs du campus, qui préparent les repas de James, sont des personnes importantes pour lui. « L’université de Willamette m’a appris des choses nouvelles et intéressantes sur la façon de cuisiner des légumes savoureux pour m’aider à suivre mon régime pauvre en protéines », explique James.

 

Au cours de l’année écoulée, il s’est rapproché de l’un des chefs de l’université qui se consacre à son régime. Le chef lui a fait découvrir de nouvelles choses, comme le « riz » de chou-fleur frit et l’utilisation d’une variété d’épices comme le curcuma et le paprika. C’est une relation précieuse dont James est très reconnaissant.

James a appris une leçon qu’il est impatient de partager avec d’autres personnes souffrant de PCU et arrivant à l’université : « La plus grande erreur que j’ai commise a peut-être été de ne pas stocker suffisamment d’en-cas préparés dans le dortoir. » À la fin de l’année, James avait une belle réserve d’en-cas à faible teneur en protéines, y compris ses céréales à faible teneur en protéines. Quel est son autre en-cas préféré qu’il continuera à manger cette année ? James est prêt à répondre : « Les cranberries séchées ! »

 

Parmi les autres aliments à emporter, il y a le fruit du jacquier séché, que son père lui a acheté et qui est devenu populaire auprès de ses amis. Les compotes de pommes et les céréales de riz à faible teneur en protéines ont également aidé James à rester rassasié entre les repas.

 

« Si vous avez constamment faim », recommande James aux autres étudiants atteints de PCU, “envisagez de consulter votre professionnel de la santé pour adapter les substituts protéiques ou l’alimentation, au lieu de faire un écart au régime”.

 

À l’approche de sa troisième année, James veut rester sur la bonne voie en matière de régime alimentaire afin d’atteindre de nouveaux sommets sur le terrain et dans la salle de classe. En fait, il espère choisir une matière principale cette année, peut-être les mathématiques. Avec le club de football, il partage des moments au sein d’une communauté de footballeurs, ce qui remplit un autre objectif, celui d’établir des relations basées sur autre chose que son régime alimentaire.

 

CONTENU VÉRIFIÉ : Nutricia Metabolics USA

 

Clause de non-responsabilité : Cet article ne constitue pas un conseil médical ou un service professionnel. Consultez votre médecin et votre équipe soignante avant de modifier votre régime alimentaire ou votre apport en protéines afin de vous assurer que votre alimentation répond à vos besoins spécifiques.

 

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